Le défi des 100 jours va trop vite pour moi. Certains thèmes me chamboulent. Je n’ai pas le temps d’intégrer ces nombreuses prises de conscience sur moi-même et mes croyances. Alors j'essaie de me connecter le plus possible dans l'instant présent.
À l’issue des 100 jours, je vais donc reprendre le défi à zéro, reprendre chacun des thèmes en prenant mon temps, en veillant à bien intégrer chacune des leçons avant de passer à la suivante. À ce rythme, il y a des chance que mon défi des 100 jours se transforme en défi des 1000 jours. Mais je déteste rester en surface des choses, ce que je fais actuellement sur certains thèmes.
Depuis le dernier bilan, de nombreuses questions se sont portées sur les projets de vie et leur manière de les réaliser. Ces questions ont soulevé des problématiques dont je ne suis pas encore capable de regarder en face. Elle me ramènent à mes échecs et à mes difficultés à avancer au quotidien. Alors j’ai préféré survoler ces thèmes pour le moment.
En parallèle de ce défi, je mène une quête personnelle qui m’amène à mieux me connaitre. Et je sens que beaucoup des thèmes qui me posent problème sont directement liés à cette quête. Ce n’est que lorsque celle-ci aura atteint un stade avancé que je pourrai savoir ou je vais et établir de réels projets de vie. Chaque chose en sont temps.
L'exercice de l'instant présent
Durant les 25 premiers jours du défi, j’étais incapable de me connecter au sentiment d’abondance. Rien ne se passait, c’était le calme plat. Petit à petit, grâce aux exercices proposés et aux prises de conscience, mon état vibratoire s’est élevé, jusqu’à recevoir à nouveau ces petits cadeaux de la vie. Même si ça reste encore très fragile actuellement. Il faut du temps pour reprendre confiance en soi et en la vie.
Parmi ces exercices, il y en a un simple et puissant que j’ai envie de partager. Posez-vous la question suivante :
Me manque-t-il quelque chose dans l’instant présent ?
En ce moment présent, j’écris et partage avec vous ces petit instants de ma vie. Un rayon de soleil illumine ma chambre, espace agréable et lumineux. Mon chat, maître en l’art de l’instant présent, assis à mes côtés, regarde le linge qui sèche se balancer au rythme du vent. Je n’ai ni froid, ni faim. En cet instant précis, je suis bien, je ne manque de rien.
Même si mon frigo est à moitié vide, même si mes comptes sont au plus bas, même si mes rentrées du mois sont catastrophiques, même si je ne sais pas où je vais… en cet instant précis, je ne manque de rien.
Quand on y réfléchit, les moments de réel manque dans une journée sont minimes. Si je sors, qu’il fait froid et que je ne possède pas les vêtements adéquats, je vais ressentir le manque d’un manteau bien chaud. En cet instant précis, le manque est justifié. De retour au chaud chez moi, le manque aura disparu sauf si je le fais perdurer en pensant à ma prochaine sortie. La pensée de manque dans le futur (proche ou lointain) nous hante bien plus que le manque en lui-même.
En faisant cet exercice le plus souvent possible, l’esprit de manque disparaitra au profit de l’esprit d’abondance.
« Il existe une loi naturelle d’abondance qui s’applique dans l’univers tout entier. Cependant, elle ne franchira jamais le seuil de la croyance au manque et à la limitation. »
C’est sur cette citation de Paul Zaiter que je vous quitte aujourd’hui.défi des 100 jours. Dans la suite des mes aventures, je vous partagera ma dernière prise de conscience : mon expérience de n'est pas celle de mes parents.
Cet article me fait tellement penser à cette vidéo : https://www.youtube.com/watch?v=L9JAZEvij-A ..la fameuse question ‘Quel est le problème MAINTENANT ?’
Merci de l’avoir écrit !
Voilà, c’est exactement ça ! Revenir au moment présent 😉