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Semeuse de graines de bien-être !

Shutdown & Meltdown : les effondrements autistiques

By Philosophine | Aspie-land

Ma mère m’a dit que je minimisais ma souffrance dans mes précédents articles. C’est sans doute vrai. Qui aime mettre en avant ses faiblesses, qui plus est, sur un blog censé apporter du bien-être à ses lecteurs ! Mais en omettant ces parties sombres, je ne suis pas sincère ni avec vous, ni avec moi-même. À présent, je vais donc aborder de manière authentique un thème incontournable : les effondrements autistiques.

effondrements autistiques
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Pourquoi les Asperger sont-ils tout le temps fatigués ?

By Philosophine | Aspie-land

Aujourd'hui, nous allons aborder le thème de la fatigue chez l'Asperger. Je me suis souvent demandée pourquoi une banale conversation de quelques minutes, faire une course ou me retrouver dans un endroit bruyant pouvait m’épuiser bien plus qu’une journée de randonnée dans les hautes Alpes ou qu’un travail acharné sur un sujet qui me passionne.

Asperger fatigue

Puisque la physiologie humaine est l'un de mes domaines de prédilection, j’ai longtemps cru que mon faible système nerveux et mes glandes surrénales épuisées étaient l’unique cause de cette fatigue. Ainsi, il me suffirait de retrouver une bonne vitalité pour régler le problème. Ça, c’est avant que je ne découvre les particularités de mon cerveau.

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Bilan des 75 jours : vivre l’instant présent

By Philosophine | Défi des 100 jours

instant présent

Le défi des 100 jours​ va trop vite pour moi. Certains thèmes me chamboulent. Je n’ai pas le temps d’intégrer ces nombreuses prises de conscience sur moi-même et mes croyances.  Alors j'essaie de me connecter le plus possible dans l'instant présent.

À l’issue des 100 jours, je vais donc reprendre le défi à zéro, reprendre chacun des thèmes en prenant mon temps, en veillant à bien intégrer chacune des leçons avant de passer à la suivante. À ce rythme, il y a des chance que mon défi des 100 jours se transforme en défi des 1000 jours. Mais je déteste rester en surface des choses, ce que je fais actuellement sur certains thèmes.  

Depuis le dernier bilan, de nombreuses questions se sont portées sur les projets de vie et leur manière de les réaliser. Ces questions ont soulevé des problématiques dont je ne suis pas encore capable de regarder en face. Elle me ramènent à mes échecs et à mes difficultés à avancer au quotidien. Alors j’ai préféré survoler ces thèmes pour le moment. 

En parallèle de ce défi, je mène une quête personnelle qui m’amène à mieux me connaitre. Et je sens que beaucoup des thèmes qui me posent problème sont directement liés à cette quête. Ce n’est que lorsque celle-ci aura atteint un stade avancé que je pourrai savoir ou je vais et établir de réels projets de vie. Chaque chose en sont temps.

Si tu souhaites te lancer dans l’aventure, je t’invite à commander le cahier d’exercices de Lilou et Christian. Il sera ton guide durant les 100 prochains jours.

instant présent

​L'exercice de l'instant présent

Durant les 25 premiers jours du défi, j’étais incapable de me connecter au sentiment d’abondance. Rien ne se passait, c’était le calme plat. Petit à petit, grâce aux exercices proposés et aux prises de conscience, mon état vibratoire s’est élevé, jusqu’à recevoir à nouveau ces petits cadeaux de la vie. Même si ça reste encore très fragile actuellement. Il faut du temps pour reprendre confiance en soi et en la vie.

Parmi ces exercices, il y en a un simple et puissant que j’ai envie de partager. Posez-vous la question suivante : 

Me manque-t-il quelque chose dans l’instant présent ? 

En ce moment présent, j’écris et partage avec vous ces petit instants de ma vie. Un rayon de soleil illumine ma chambre, espace agréable et lumineux. Mon chat, maître en l’art de l’instant présent, assis à mes côtés, regarde le linge qui sèche se balancer au rythme du vent. Je n’ai ni froid, ni faim. En cet instant précis, je suis bien, je ne manque de rien. 

Même si mon frigo est à moitié vide, même si mes comptes sont au plus bas, même si mes rentrées du mois sont catastrophiques, même si je ne sais pas où je vais… en cet instant précis, je ne manque de rien. 

Quand on y réfléchit, les moments de réel manque dans une journée sont minimes. Si je sors, qu’il fait froid et que je ne possède pas les vêtements adéquats, je vais ressentir le manque d’un manteau bien chaud. En cet instant précis, le manque est justifié. De retour au chaud chez moi, le manque aura disparu sauf si je le fais perdurer en pensant à ma prochaine sortie. La pensée de manque dans le futur (proche ou lointain) nous hante bien plus que le manque en lui-même.

En faisant cet exercice le plus souvent possible, l’esprit de manque disparaitra au profit de l’esprit d’abondance. 

« Il existe une loi naturelle d’abondance qui s’applique dans l’univers tout entier. Cependant, elle ne franchira jamais le seuil de la croyance au manque et à la limitation. »

C’est sur cette citation de Paul Zaiter que je vous quitte aujourd’hui.défi des 100 jours. Dans la suite des mes aventures, je vous partagera ma dernière prise de conscience : mon expérience de n'est pas celle de mes parents.

Et si c’était… Asperger ? Premiers questionnements…

By Philosophine | Aspie-land

J’inaugure aujourd’hui une nouvelle série d’articles sur un thème un peu particulier dont je souhaite aborder depuis bien longtemps suite à mes nombreux questionnements : le syndrome d’Asperger. Etant en cours de diagnostic, je ne voulais rien révéler avant d’être certaine de ne me pas me tromper de voie, ne me sentant pas légitime de parler de quelque chose qui n’est pas officiellement confirmé.

Asperger quesionnements

Or, cela fait pas loin de deux ans que j’ai effectué mes premières démarches après du CRA (Centre Ressources Autisme) de ma région dans le but de passer des tests qui révéleraient éventuellement des troubles du spectre autistique à mon égard.

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Mon expérience de vie n’est pas celle de mes parents #défides100jours

By Philosophine | Défi des 100 jours

dettes

Plus de 50 jours se sont écoulés depuis le début du défi des 100 jours. Je vous avais promis des comptes-rendus réguliers mais en pratique, ce n’est pas si simple. Ce ne sont pourtant pas les thèmes et les idées qui manquent ! Si vous voyez le nombre d’articles entamés qui stagnent en mode « brouillon »… Chaque jour du défi donne de nouvelles pistes à explorer et il faudrait y consacrer bien plus de temps qu’une journée pour en faire le tour et intégrer les prises de conscience.

Je me sens dépassée par l’ampleur de la tâche. 

Mais j’ai quand même envie de vous partager certaines de mes réflexions et révélations, même si elle ne suivent pas l’ordre du défi. Peu importe après tout. Je pense d’ailleurs continuer à travailler sur le thème de l’argent au delà des 100 jours car c’est un thème lourd avec beaucoup de pistes à creuser. Et j’ai besoin de prendre mon temps. 

Je pensais que le thème des dettes, abordé dans le cahier d’exercices, ne me concernait pas. Je ne dois d’argent à personne et personne ne m’en doit. Jusque là tout va bien. Mais je n’avais pas prévu, qu’en parler avec ma mère engendrerait une grosse prise de conscience.

​Mes parents et les dettes

J’ai toujours su que mes parents avaient eu à un moment donné de grosses dettes à cause des lubies de mon père. J’ai su aussi qu’une âme amicale s’était proposée de prêter une grosse somme d’argent à ma mère pour rembourser ces dettes.

Mais j’avais aucune idée du montant exact. Non pas qu’il m’ait été caché, mais à l’époque, je n’étais pas spécialement familière les nombres à 5 chiffres. C’était trop abstrait pour moi. Je n’imaginais pas que la dette ait été aussi importante.

Nous avons discuté de cette somme et de tout ce qui est lié et j’ai compris que les galères financières que nous avons traversées étaient les conséquences non pas de la malchance, non pas de l’incapacité de mes parents à gagner de l’argent, non pas d’un manque de travail… mais des folies de mon père. L’argent qui rentrait servait en partie pour réparer ses bêtises, pour acheter alcool et tabac au lieu de nous nourrir, nous vêtir… Ce qui années après années, a engendré fatigue, désespoir, misères matérielle et affective.

De cette expérience sont nées dans ma petite tête des croyances limitantes telles que :

  • l’argent se gagne difficilement
  • il faut travailler beaucoup pour pouvoir survivre
  • le travail est une corvée dans laquelle on ne peut pas s’épanouir

​Si tu souhaites te lancer dans l’aventure, je t’invite à commander le cahier d’exercices de Lilou et Christian. Il sera ton guide durant les 100 prochains jours.

dettes

Mon expérience n'est pas celle de mes parents

Parler avec ma mère de son expérience de vie a provoqué un déclic en moi : mon expérience à moi n’a rien avoir avec celle de mes parents !

Certes, j’ai peu d’argent, j’ai pas de réserve, je n’ai pas de biens, ni de ressources en cas de coups dur… mais je ne traine pas d’horribles boulets. 

À cette pensée, je me suis sentie tellement soulagée ! Comme si je m’étais délestée d’un gros fardeau imaginaire. Un fardeau qui ne m’appartenait pas. 

Je n’ai pas de dette, je ne dois rien à personne. Je n’ai pas les huissiers qui viennent régulièrement frapper à ma porte.

Même si je dois faire extrêmement attention, j’arrive à gérer mon budget, je n’ai jamais été dans le rouge.

Je n’ai pas la folie des grandeurs, j’apprécie la simplicité de vie.

Je n’ai rien à gérer (commerce), rien à entretenir (maison), pas de bouche à nourrir (enfants) si ce n’est que la mienne et celles des chats.

Tout l’argent qui rentre qu’il soit issu des aides ou de mon propre travail est pour moi (une fois mes charges déduites bien sûr), je suis libre d’en faire ce que je veux.

​Un décalage entre la réalité et mes croyances

Et si j’arrêtais de calquer ma vie sur celle de mes parents ? Car en définitive, elles ne se ressemblent pas du tout. Je pars de zéro mais pas de « moins » quelque chose et je trouve que c’est déjà une réelle chance. Mes bases ne sont pas aussi catastrophiques que je le pensais.

Je perçois mieux à présent le décalage entre mes croyances issues du schéma familial et de la réalité dans laquelle je me trouve actuellement. 

Je ne sais pas encore où va me mener cette prise de conscience mais je sens que j’ai encore fait un pas en avant.

​Et vous ? Avez-vous l’impression de « calquer » le schéma familial de vos parents ? Vous êtes-vous déjà penché sur ce sujet ?

​Le dernier article de cette série sera consacré au bilan des 100 jours​.

Les possessions matérielles sont des boulets #défides100jours

By Philosophine | Défi des 100 jours

possessions matérielles

En m’adonnant à l’exercice de lister sa fortune (vous pouvez télécharger le document et le compléter si vous le désirez), j’ai constaté que ma feuille était bien vide. Hormis l’argent que j’ai pour pour le mois, je n’ai rien. Mes seules possessions matérielles de valeurs sont mon ordinateur, mon Iphone et Igor mon appareil photo.

Mais je n’ai pas de dettes, pas de prêt non plus. Un point positif.

Malgré tout, j’ai ressenti comme un grand vide à la relecture de ce document. Je n’ai rien, pas une porte de secours en cas de coup dur. Pas d’argent sur mon compte épargne et aucun bien à revendre. Je n’ai que la possibilité de faire confiance à la vie… Cet exercice m’a amené à réfléchir sur mon rapport aux possessions qui n’est peut-être pas aussi sain que je le prétends, avec un mode de vie minimalisme.

Le schéma familial​

Papa avait la folie des grandeurs, il aimait posséder. Il aurait acheté n’importe quoi à n’importe qui sur un coup de tête, par envie, par jalousie, pour se faire bien voir : maison, commerce, terrain… Mais totalement incapable d’en assumer les conséquences. Ses folies nous ont toujours amené à vivre dans la misère, le froid et le stress.

Maman, par nature, n’a jamais émis de désir de possession car pour elle, qui dit possession, dit entretien, responsabilité, dépendance… Elle préfère de loin profiter des choses sans les posséder. Et cet état d’esprit s’est amplifiée à la suite des années passées auprès de mon père car chaque fois, c’est elle qui devait en payer les pots cassés. 

Et puis il y a le tonton aussi qui possède appartements, maisons, terrains, animaux de la ferme… et qui dit que c’est du boulot de devoir entretenir tout ça ! Il est toujours pressé.

Les possessions et leurs conséquences

Quand j’avais 3 ans, Papa avait vidé la caisse du magasin de Maman sur un coup de tête pour m’acheter un terrain. Ainsi, j’étais propriétaire d’une minuscule parcelle agricole perdue entre 4 champs, infranchissable à moins de traverser le champs voisin ! Je n’ai jamais vu la couleur de ce terrain (nous n’avons jamais trouvé son emplacement exact) qui a causé tant de soucis à ma mère. Quand l’agriculteur des parcelles voisines m’a fait une proposition d’achat, je me suis empressée de lui revendre dès ma majorité.

Propriété = boulet

Après le divorce de mes parents, ma mère s’est retrouvée avec un pressing qu’elle n’avait pas choisi (énième lubie de mon père) mais qui hélas était à son nom. Quand ces foutues machines n’ont plus étaient aux normes et qu’elle n’avait pas les moyens de les remplacer, il lui fallut s’en débarrasser avec les produits dangereux qu’elles contenaient, qui demandaient donc un traitement spécifique. Seule et sans argent, elle s’est retrouvée dans l’impasse totale avant qu’une de ses clientes lui propose enfin une solution à sa portée qui la libéra de cette lourde charge.

Commerce = boulet

Enfin débarrassé de ce pressing, nous avons vécu de nombreux déménagements, toujours plus ou moins seules à devoir transporter l’électroménager et les meubles lourds et encombrants dans notre vieille voiture de l’époque. Alors au fil des déménagements, j’ai tends vers le minimalisme pour simplifier ma vie et me sentir libre de pouvoir facilement partir du jour au lendemain sans attache.  

Meubles = boulets

​Posséder, c'est la porte ouverte aux voleurs

​Quand j’étais petite, j’avais une poupée géante que mes parents avaient trouvée au dépotoir (mes parents n’hésitaient pas à y prendre ce qui était en très bon état et cette poupée en l’occurence était tellement grande et inhabituelle, qu’il n’était pas question de passer à côté). Et puis un jour je l’ai laissée quelques heures dans la cour de ma maison et elle a disparu ! On me l’a volée.

Possession = convoitise = vol ! 

J’ai fini par ancrer dans ma petite tête que les possessions entrainent la misère, les possessions sont des boulets, les possessions demandent de l’entretien et donc de l’argent, du temps, de l’énergie. Enfin, les possessions attisent la convoitise et nous exposent au vol.

Si tu souhaites te lancer dans l’aventure, je t’invite à commander le cahier d’exercices de Lilou et Christian. Il sera ton guide durant les 100 prochains jours.

possessions matérielles

​Un mode de vie simple et minimalisme

Au fil du temps, j’ai adopté un mode de vie axé sur le minimaliste que je pensais avoir acquis en conscience. Il est vrai que je n’ai, comme ma mère, jamais « convoité » par nature. Je ne me suis jamais imaginée propriétaire. Je me fiche d’avoir des objets de valeurs tels que des bijoux ou autres, je me fiche du tape-à-l’oeil, de la belle voiture, de la belle maison. 

Derrière le minimalisme incluant la simplicité volontaire, se cachent de grandes valeurs auxquelles j’adhère : la préservation de l’environnement, le recyclage, la consommation responsable, la maîtrise de ses achats, le temps libre disponible pour s’adonnant à des activités qui ont du sens.

Et j’aime ça !

Mais ce minimalisme, parfois poussé à l’extrême, cache aussi de grandes peurs : celles de ne pas pouvoir entretenir mes possessions par manque de moyens ou par manque de temps, du vol, de la dégradation… J’ai peur d’être coincée, emprisonnée par mes possessions, peur de perdre ma liberté chérie. À cause de ces peurs, j’en suis arrivée à minimiser mes réels besoins.

Ne pas vouloir de possessions matérielles par choix est une chose, en avoir peur en est une autre ! Ce sont ces peurs qui freinent l’accès à l’abondance. Même si ça peut sembler paradoxale, le minimalisme n’est absolument pas incompatible avec l’abondance, du moins de l’image que je m’en fais. Pour moi, l’abondance n’est pas d’amasser des biens mais de recevoir tout ce dont on a besoin au moment où on en a besoin. Quand au minimalisme, cela représente à mes yeux un mode de vie basé sur nos réels besoins, préalablement définis par une connaissance accrue de soi-même. Et je constate que je suis encore très loin de ce mode de vie idéaliste en restreignant mes réels besoins.

Analyse de mes expériences et de mes peurs

Ok, le terrain acheté de mon père ne m’a été d’aucune utilité en plus d’avoir été revendu à perte. Mais c’est parce que Papa avait fait un mauvais choix et ce, sans se concerter avec ma mère. Cette achat n’était pas adapté à mes besoins.

Ok, Maman a géré son commerce comme on traîne un boulet. Mais ce n’était pas son choix, jamais elle n’a voulu de ce pressing. 

Ok, nous avons eu des déménagements difficiles. Mais peut-être que si on avait eu plus de moyens, on aurait loué un camion de déménagement et embauché quelques gros bras. 

Ok, Tonton est débordé, mais au fond il doit aimer ça, sinon il pourrait très bien se débarrasser de quelques tâches en les confiant à quelqu’un ou en cédant une partie de ses biens.

Ok, personne n’est à l’abri du vol. Mais il existe des systèmes de sécurité même si je n’aime pas trop cette idée. Dans mon monde idéal, le vol n’existe pas.

Aussi, je pense que rien n’arrive au hasard et que derrière chaque épreuve se cache un message. 

Ok, j’aime le minimalisme, j’aime les valeurs qui s’y attachent. J’aime simplifier ma vie. Mais ne suis-je pas en train de repousser TOUTE possession matérielle même celle dont j’ai besoin, à cause de ma peur de posséder ?  

possessions matérielles

​Simplifier sa vie, c'est l'enrichir, contrairement à ce que prône notre société de consommation. Découvrez un mode de vie zen, directement issu de l'art de vivre japonais, reposant sur le principe du "moins pour plus", appliqué à tous les domaines.

​Et si je modifiais mes croyances ?

Si j’ai peur de posséder alors je n’attirerai jamais rien à moi, même ce dont j’ai vraiment besoin.  Je vais devoir travailler sur ces peurs engendrées par mon histoire personnelle : celle d’un père qui n’assumait pas les conséquences de ses possessions et celle d’une mère qui ne sentait pas suffisamment apte à posséder quoique ce soit.

Et si je commençais par accepter l’idée que posséder un bien peut être une expérience légère et même agréable ? Et si j’acceptais l’idée qu’un jour je puisse vivre cette expérience dans la joie ?

J’ai compris que je ne devais pas fermer la porte aux possessions matérielles, que je ne devais pas les rejeter mais laisser venir à moi toute forme d’abondance à partir du moment où cela est en accord avec mes choix de vie (et non mes peurs). En sachant que ça ne parasitera aucune de mes valeurs et que je conserverais ma liberté.

Edit :

Alors que je terminais le brouillon de cet article et que j’étais fière de mes réflexions, du chemin intérieur parcouru et que je commençais à me faire à l’idée que posséder pouvait être agréable, je découvre que l’un de mes contacts FB s’est fait cambrioler son appartement et voler sa voiture.

Malheur ! La petite voix dans ma tête me dit qu’elle avait raison ! Que les possessions sont des boulets ! Je ne veux plus posséder !!!!! Non non non, jamais je ne posséderai quoique ce soit !

Bon, je crois que j’ai encore du travail à faire sur moi. Ce n’est pas quelques mots lâchés sur un article qui vont modifier 30 ans de croyance d’un coup de baguette magique ! Mais ces quelques réflexions sont déjà un bon début dans cette longue quête de l’abondance.

Dans le prochain article, nous ferons le bilan des 75 jours !

Les vilains riches et les gentils pauvres #défides100jours

By Philosophine | Défi des 100 jours

​L'article que je vous propose aujourd’hui est la suite de mes aventures pour libérer mon rapport à l'argent et vivre l'abondance. ​Ce défi fait remonter des souvenirs ​pas toujours agréables dont celui que je m’apprête à ​partager ! Je vais donc vous parler des​ vilains riches de mon enfance et des croyances erronées qu'il m'ont ​transmis.

J’ai pris conscience que ces vieux souvenirs avaient encore de l’emprise sur moi à l’heure actuelle et qu'il était plus que temps de m'en débarrasser pour vivre la prospérité.

vilains riches
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Bilan des 25 premiers jours #défides100jours

By Philosophine | Défi des 100 jours

bilan

​25 jours se sont écoulés depuis le début du défi des 100 jours sur comment libérer sa relation à l’argent et à l’abondance. 25 jours passés à travailler sur l’argent, la fortune, les dettes, le manque, les croyances… Aujourd’hui, il est l’heure de faire un premier bilan.

Que s'est-il passé de positif durant ces 25 premiers jours ?

Le but premier de mon défi n’était pas de me connecter de suite à l’abondance et ses manifestations mais de prendre conscience de mes blocages et de mes croyances erronées à propos de l’argent. Je découvre que j’avais peur de posséder, peur de devenir une autre personne en ayant de l’argent, peur de la facilité, peur de découvrir un monde que je ne connais pas. J’ai pris conscience que je ne m’autorisais pas à gagner de l’argent par mes propres moyens, par dévalorisation. J’ai commencé à travailler sur toutes ces croyances erronées et limitantes.

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Je me suis achetée des vêtements et ça me plait ! #défides100jours

By Philosophine | Défi des 100 jours

J’ai fait une folie. Une grosse folie ! J’ai dépensé de l’argent pour acheter des vêtements neufs. Oh peut-être que pour vous, cela semble anondin… mais pour moi c’est un événement.

Mes économies de l'année

Je n’ai pas fait cela sur un coup de tête, le projet était mûrement réfléchi. Tout au long de l’année 2017, j’ai mis 5 euros par semaine dans un pot, dans le but d’avoir de l’argent au moment des fêtes. Soit pour passer Noël plus sereinement, soit pour un projet spécifique. 

acheter des vêtements neufs
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